| | | Dereck Peterson [Under Construction] |  |
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|  Sujet: Dereck Peterson [Under Construction] ![Dereck Peterson [Under Construction] Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif) Dim 13 Jan - 13:28 | |
| In The Game Prénom: Dereck
Nom: Peterson
Surnom: X
Âge: 26 ans
Date et Lieu de naissance: 19 Juin 1981, New York
Groupes: Habitants
Métier: Médecin Urgentiste.
Description physique:
Avant même d'essayer de le détailler d'une façon ou d'une autre, les personnes autour de lui sont indéniablement attirées par lui. Il n'est même pas question de séduire. C'est juste ce charme naturel qui émane de lui. Son sourire maladroit perpétuellement collé sur ses lèvres lui attire la sympathie des gens qui croisent sa route. En d'autres circonstances, il arbore son sourire version ultra bright parfaitement authentique, et la plupart du temps lorsqu'il essaye de se prouver qu'il plaît. Ce qui est naturellement inutile. Tout dans son apparence attire la confiance -à tort ou à raison - de son charisme naturel, à sa carrure. Ni trop carré ni trop maigrichon, il se qualifie de tout simplement svelte et pense sincèrement être le monsieur tout le monde sur qui on peut tomber au Super-Marché. Il n'est pas sans ignorer avoir un pouvoir de séduction assez révélateur sur les femmes, notamment les jeunes femmes, parce qu'au niveau des femmes de son âge, il remporte un succès mesuré. Du moins, ce qu'il en pense. Il y a quelques mois de cela, ses cheveux châtains étaient légèrement plus longs qu'ils ne le sont aujourd'hui. A la façon des adolescents, une mèche rebelle passait sur son visage, masquant ses yeux bleus. Suivant les conseils de son entourage, il préféra s'en débarrasser, soucieux de diminuer l'impact puérile de l'affaire. C'est ainsi qu'il s'est retrouvé avec une jolie coupe bien courte laissant son visage à la vue de qui veut bien le regarder, elle sublime son petit sourire en coin et des yeux dans lesquels ont croirait se noyer en temps ensoleillé. Globalement assez renfermé niveau sentiments, tout ce qu'il peut ressentir passe par ses deux billes couleur nuit, qu'il soit entré dans une colère extrême, dans une tristesse étourdissante ou dans une euphorie quasi maladive, son regard est en toute circonstances à couper le souffle. Et comme il lui arrive de garder les yeux rivés sur quelque chose ou quelqu'un pendant de longs moments de réflexion, cela n'arrange rien. Il a la manie -agaçante quelquefois- de montrer ses petites quenottes bien blanches en toutes circonstances. Même s'il rentrait dans une colère folle contre vous, il ne pourrait retenir son sourire ravageur, montrant sa rangé de dents parfaitement placées au point que l'on commence à se demander où est-ce qu'il a été se les faire refaire. La vérité est parfois irritante mais rien n'a jamais été retouché chez le jeune brun. Alors que plus jeune, il ne faisait pas son âge, son visage fin à la mâchoire joliment carrée et ses maxillaire saillantes lui donne une touche de maturité physique en plus. Pas vraiment adepte des sévices corporels, vous ne trouverez aucun tatouages ni pierçings sur le corps du jeune Dereck, il a ce genre de pratique en horreur, tout simplement. En parlant de son corps, des années et des années de natation en cours intensif lui ont permis d'acquérir une silhouette longiligne et finement musclé. Il déteste également le too much, bon à savoir. Les tablettes de chocolats super dessinées avec des bosses de partout, merci mais non merci, très peu pour lui. Ce n'est pas parce qu'il n'a pas une gramme de chair flasque qu'il est obligé de ressembler à un de ces hommes se bourrant de stéroïdes anabolisants comme ils mangeraient des Petit Prince. En conclusion, pour faire bref, à force d'effort et d'entretien, il a réussit à obtenir un corps qui lui convient parfaitement et qui est le portrait craché de celui d'un nageur. étonnant dites-vous?
Caractère:
De part sa profession, naturellement, Dereck a développé une empathie quasiment douteuse. D'après même ses supérieurs hiérarchiques : "Ce qui revient continuellement à propos de l'interne Peterson, c'est son empathie. C'est une gêne professionnelle lorsque l'on a son statut. Un médecin partageant la souffrance de son patient n'a jamais mené à quelque chose de bon. En tant que médecin urgentiste, il ne peut tout simplement pas se permettre de se mettre à la place des gens qui passe sous son scalpel au risque qu'il diagnostique plus avec son coeur qu'avec son cerveau qui lui a, soit dit en passant, permis de faire médecine dans une fac de renom. Bien que cela ne semble pas altérer son travail pour le moment, le sujet sera à surveiller de prés...". Il n'a pourtant pas conscience que cela puisse l'handicaper. il a toujours vécu de cette façon, il ne s'imagine tout simplement pas ignorer ses patients pour les traiter à la manière d'un morceaux de viande contaminé. Pour lui, sa vocation de s'arrête pas à ouvrir-réparer-refermer. il lui faut un contact bien plus profond avec les personnes dont il a la charge. Il n'est donc pas étonnant que le jeune homme soit si tolérant avec les gens. Il se plaît à chercher le meilleur chez les autres. Il pourrait vous montrer la petit lucarne qui scintille au fond des abysses et les pire, c'est que vous seriez tenté d'y croire malgré tout votre bon sens. Ce qui ne fais pas pour autant de lui un naïf, loin de là. Il sait à quel point l'humanité peut être laide, c'est un constat qui ne l'a jamais quitté, mais au prix de sa propre liberté morale, il tenterait de changer les gens dits "pas comme il faut" pour en faire des êtres bon. Un peu idéaliste dirons-nous alors. A tout problèmes correspond une solution. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'il se montre aussi têtu parfois. Un cas quel qu'il soit doit au moins être identifié, si par la suite des choses rien n'est possible pour le traitement, tant pis. Mais il ne supporte pas d'échouer sur un diagnostique. Il pourrait bien rester des semaines sur le même cas, tant qu'il n'aura pas trouver la source du mal, il n'en démordra pas.
Après le cadre professionnel, le cadre personnel.
Dans la vie, les idéaux du jeune homme ne divergent pas, seulement plus de choses rentre en ligne de compte. Toujours aussi rationnel, il ne supporte pas qu'une personne lui parle de destin ou de chemin tout tracé. On écrit son histoire, point. rien ne force le fils d'un tueur à devenir à son tour un sanguinaire. Non, ce serait bien trop facile. Et à quelques défauts de faire leur entré. Il se trouve que ce brillant médecin s'avère quelque peu matérialiste. Par vraiment égoïste mais il trouve qu'il a pas mal trimé déjà pour obtenir tout ce qu'il a au jour d'aujourd'hui et de ce fait, il prend grand soin de ses effets personnel. Son appartement ressemble comme deux gouttes aux pages d'un catalogue d'emménagement d'intérieur. A tel point que lorsque l'on passe de la cuisine à la salle à manger, on a l'impression de faire un saut complet d'un univers à un autre. Il lui arrive également d'être de mauvaise foie lorsqu'il s'agit d'avouer ses éventuelles erreur mais de toute façon, il ne le fera jamais. Voilà pour la page défauts. Venons-en maintenant à ses sentiments, quelques qu'ils soient. Le jeune homme est très 'coincé' à ce niveau là. Il pensait ne rien pouvoir ressentir, que rien ne pourrait jamais l'atteindre et pourtant, il se rend compte qu'il est hypersensible. Frustrant comme révélation. Alors, croyez le, il fera de son mieux pour cacher ce qu'il ressent au fond de lui. Il réussira peut-être à le cacher par une bonne dose de sarcasmes ou peut-être en vous serrant dans ses bras alors qu'il n'en ressent nullement le besoin. c'est ce qui fait de lui quelqu'un de plutôt maladroit niveau sentimental. Il ne veut pas s'attacher de trop à une jeune femme justement de peur de décevoir les espoirs qu'elle pourrait placer en lui. Il se sait peu démonstratif et il a peur que la personne qu'il aime en souffre. Hum..bien sur, cela ne l'empêche pas de jouer au jeu de la séduction de temps en temps. Mais cela n'engage à rien n'est-ce pas...
Histoire:
No Time for Goodbye.
Even if I say it will be alright, still I hear you say you want to end your life. Now and again we try to just stay alive. Maybe we will turn it all around but it's all over for you. You'll fall for him, and again I wonder why do you do this. Crying, hoping. It's not enough. Stay with me, don't let me alone.Stay with me, I've built my world around you. I need you to stay. Too late. You don't here anymore. I can see my life flashing before my eyes. I stood, waiting, in the Dark with your picture in my hands. I was just a little boy...
19 Juin 1981, 04H27, Une clinique privée, Manhattan
Un petit être posé sur la poitrine, Maïlis Gray soupira doucement. Elle aurait voulu se convaincre que ce n'était qu'un soupire de soulagement, mais elle sentait pertinament qu'il y avait autre chose. une chose qui la tracassait, la dévorait de l'intérieur et l'empêchait de se sentir heureuse d'avoir donné la vie pour la première fois de sa vie. Peut-être était-ce son âge. Elle se sentait si vulnérable et maintenant elle devrait non seulement s'occuper d'elle mais aussi veiller au bonheur de ce petit garçon qui braquait ses yeux clos vers elle. Elle sentait lâche..lâche et immature. Pas du tout apte à s'occuper de lui. Pourtant, elle en était sur, elle l'aimait déjà. Il serait sa raison de vivre à présent, oui, lui et son papa constituerait son propre bonheur. Elle se surpris à l'étreindre tout doucement contre son coeur tout en sentant le sien en retour. Elle manquait d'air tout à coup, elle suffoquait alors que le petit nez humide de l'enfant vint de caler dans son cou. Un petit sourire s'étira sur ses lèvres et elle reprit son rythme à grandes bouffées d'air.Puis l'heure de séparation arriva. A regret, elle laissa le médecin s'occuper de son petit ange. La nature avait fait d'elle une jeune fille fragile psychologiquement et physiquement, elle avait besoin de repos maintenant. Passer un peu de son temps à dormir pour se remettre de toutes ses émotions et être en pleine forme, pouvoir rentrer dans l'appartement qu'elle convoitait depuis si longtemps et de surcroit, avec Logan. Il serait là pour s'occuper d'eux deux, il l'avait promis et de ce qu'elle avait pu voir c'était un homme de confiance. Elle ramena la converture sur elle jusqu'à son cou. Elle se sentait un fébrile et ses mains tremblaient comme les feuilles d'un if sous la brise de l'automne. Elle tourna calmement la tête, fixant le couloir. Apaisée par le passage devant la porte de sa chambre, elle ferma les yeux et s'endormit.
15 Janvier 1982, Appartement de Logan Peterson, Lexington Avenue, Manhattan
Il était fatigué, ruiné, usé. S'occuper d'un enfant s'avérait bien plus épuisant qu'il n'avait pu le penser. Il sentait ses yeux se fermer tout seuls, proie d'un sommeil bien mérité. Ils'était appuyé dos contre le mur puis s'était laissé glisser jusqu'au sol. il se sentait si vide et tellement pas à sa place. Elle était si jeune et lui si..important. Il ne pouvait pas se permettre ce genre de fantaisie. Dès lors qu'il avait été avec elle, il en avait oublié ses prioritées. Une chose était sur à présent, celles-ci n'étaient pas ici. il n'était pas du tout à sa place dans cet appartement ou plutôt avec les deux autres occupants. Ce n'était pas sa fonction. Son chemin était déjà tout tracé, tout ça, ce n'était pas pour lui. Un café, c'était de ça qu'il avait besoin pour se rebooster. Un bon moka. Il se releva péniblement, tentant tant bien que mal d'ignorer les rires qui s'élevaient de la pièce voisine. En attendant que son café de s'écoule, il s'accouda sur le rebord de l'évier et y enfouit sa tête. Il avait besoin de faire une pause. De tirer un grand trait et de reprendre une page blanche. A peine avait-il eu le temps de s'entendre réfléchir que Maïlis se glissait dans la pièce. Son énorme sourire collé aux lèvres. Elle était tellement rayonnante. On aurait cru qu'elle voulait illuminé le monde entier avec un simple sourire. Elle passa doucement ses bras autour de la taille de Logan, enfouit son visage dans le cou de son campagnon et y déposa un baiser avant de poser son menton contre son épaule.
-Ils sont tous partis. Va savoir pourquoi, quand Audrey a affirmé qu'elle devait allé rejoindre son homme, elles ont toutes filé en même temps.
Elle retint un petit rire et glissa ses mains sous la chemise du jeune homme.
-J'aimerais quand même te faire remarqué que tu as raté le principal de la fête...chéri.
Logan fronça les sourcils. Elle était tellement..naïve, que ça lui en donnait mal à la tête. Elle pouvait être tout simplement insupportable d'un seul coup. il n'avait aucune envie d'engager le dialogue. il en avait marre, tout simplement. Il ne voulait pas rester là. elle était trop jeune pour lui. il grogna encore davantage lorsqu'elle finit sa phrase. Il posa ses mains sur celles de la jeune femme et les retira de sur son torse. Il se retourna et posa ses mains sur ses épaules, comme pour la tenir à distance. Il ajusta son ton détaché.
-Ah parce que j'ai raté quelque chose? J'ai passé l'âge de passer une journée entière à me bourrer de M&Ms en écoutant les blagues toutes aussi puériles et douteuses les unes que les autres de gamins de ton âge.
Maïlis cligna fébrilement des yeux. Comme si elle ne comprenait pas un seuls des mots qui s'échappaient des lèvres de l'homme qu'elle aimait. Elle amorça un pas pour l'embrasser mais une nouvelle fois, il la repoussa. elle espérait vraiment avoir de gros, gros problèmes d'auditions. Mieux..de grosses crises d'hallucination. Comme pour se justifier, il ajouta:
-J'ai presque 30 ans...
Maïlis acquiesça un sourire amer. Elle se recula un peu plus, débarassant ses épaules de l'étreinte des mains de Logan. Elle n'en croyait pas ses oreilles, il était en train de la rejetter comme une sâle chaussette. Les mots mirent du temps à sortir. elle ouvrit plusieur fois la bouche sans qu'aucun son n'en sortent mais, enfin, elle trouva un peu de courage.
-Tu ne t'embarassait pas d'autant de futilité lorsqu'il s'agissait de m'allonger dans ton lit. C'est étrange non?..
Lo' soupira. elle était vexante quand elle le voulait. Il posa ses coudes contre l'évier derrière lui. Il tentait de trouver les mots justes mais ne voulait pas s'embrasser de futilité.
-Hum..écoutes, je n'ai tout simplement plus le temps de m'occuper de toi alors m'occuper...
-Depuis quand tu te sens investit de la divine mission de t'occuper de moi? Elle voulait garder un ton neutre mais son ton s'était quelque peu envolé. Je n'ai jamais eu besoin de toi et c'est pas maintenant que ça va changer. je suis une grande fille tu sais.
-Arrêtes, je t'en prit. Ajouta-t-il à voix basse. Tu sais très bien qu tu es incapable de t'occuper de toi-même alirs t'occuper d'un bébé...Laisses moi rire. Tu sais très bien que je tiens énormément à toi mais je n'en ai plus le courage. J'ai toujours été là pour toi. Tu as toujours pu faire ce que tu voulais, avec qui tu voulais mais je ne pense pas avoir à en subir les conséquences. cet enfant n'est pas le mien et je ne me sens ni l'envie ni le courage de m'en occuper.
Le regard de la jeune femme s'embua, sa gorge se serra. elle se sentait mal, très mal. Elle s'appuya contre le mur, fermant les yeux. Elle ne supportait pas qu'il lui parle ainsi. Et ça mettait Logan hors de lui. Il se dirigea vers la salle à manger, trop migraineux pour tenir une conversation. Juste avant de claquer la porte, il lui hurla.
-Grandis un peu. réfléchis au moins. Tu n'as que 17 ans Bordel!
Dernière édition par le Dim 20 Jan - 11:17, édité 14 fois |
| | | | Invité
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| | Sujet: Re: Dereck Peterson [Under Construction] Jeu 17 Jan - 21:02 | |
| Blake >> Oui, fais donc ça  Hum..je suis pas payé au patient non plus alors on y va doucement hein x)
Chelsea >> Ne t'inquiètes pas, c'est réglé.
Maybel & Nathan >> Merci à vous deux 
Désolé du second post mais tout passe pas dans le premier 
_Un an plus tard, Logan quittait l'appartement sans même dire au revoir à la jeune fille. Il n'avait pas prit cette décision sur un coup de tête. Il tenait à Maïlis autant que ça lui était permit mais il devait tirer un trait la-dessus. il était bien trop vieux pour elle et ne pouvait rien lui amener de bien. C'était un couple totalement déséquilibré qui n'aurait pas duré bien longtemps. Le matin même de son départ il avait hésité pendant des heures, restant assis tout près d'elle, la fixant du regard. La raison avait prit le dessus sur sa volonté mais ne pouvant se résigner à la laisser sans rien, il lui avait laissé l'appartement. Sa famille, lui, ils étaient riche à ne plus en pouvoir. Des appartements dans l'East Side, ils en avaient pleins. Et il ne pouvait s'empêcher de penser que quelque part, il l'avait vraiment aimé.
C'est une Maïlis réduite à néant qui s'était rendu compte qu'il avait mit la clef sous la porte et qui avait pleuré toute les larmes de son petit corps. une seule et unique chose la reliait désormais à la vie...Le petit Dereck. Un, deux, trois, quatre, cinq. Cinq ans passèrent. La jeune et joviale Maïlis était devenue une jeune femme de 22 ans déjà en grave dépression. elle passait la moitié de sa journée à dormir et l'autre à lutter pour qu'on ne lui retire pas la garde de son bébé. Ce qui devait arriver tôt ou tard arriva.
19 Juin 1987, Toit de l'immeuble, Upper East Side, Manhattan.
Ce matin là, Dereck s'était réveillé tout fou. C'était son anniversaire et il avait hâte de voir ce que sa mère lui avait offert. Il avait littéralement sauté de son lit et couru dans tout l'appartement dans l'espoir de réveiller sa maman. Après un petit quart d'heure d'une course effrénée, aucune réaction ne s'était faite entendre. Alors il avait fouillé, comme il le faisait à chaque fois, la colère lui irritant les tempes. Il en voulait à sa mère qui l'obligeait à se laisser dans de telles démarches le matin même de son anniversaire. Il commença par sa chambre, elle n'y était pas. Dans la cuisine gisaient des cadavres de bouteilles de vodka. Dans la salle à manger, la photo de sa mère de son "père" et de lui avait été enlevé. Une vague de chaleur le submergea, comme si un mauvais pressentiment s'insinuait dans les moindres recoins de son âmes. Il enfila son petit gilet par dessus son pyjama "super-héro" que sa mère lui avait acheté un mois plus tôt, et se précipita sur le toit. il savait qu'il ne pouvait la trouver qu'ici lorsqu'elle n'allait pas bien. Il monta quatre à quatre les escaliers, son coeur menaçant de s'échapper de ses côtes, il tambourinait dans sa cage thoracique comme si son but était de le faire souffrir. Enfin, il atteint le toit et son dallage sale, jonché de fientes de pigeons. A l'extrémité de la terrasse, Maïlis. ses cheveux blonds étaient sales. elle n'avait pas du les lavé depuis un mois. Sa nuisette flottait doucement au rythme du vent et des larmes coulaient le longs de ses joues cireuses. Elle était assise sur le rebord, sa silhouette dansant doucement. Lorsqu'elle entendit les pas, elle tourna la tête pour voir son bébé. Ses yeux étaient rouges, comme à chaque fois qu'elle picolait. Un petit sourire apparu sur ses lèvres et Dereck se rapprocha d'elle pour s'accrochait à sa taille.
- C'est mon anniversaire aujourd'hui...
Comme si cette simple déclaration allait tout changer. May' leva sa main pour observer une nouvelle fois la photo qu'elle tenait fermement. Elle bafouilla légèrement, le menton tremblant. Elle s'interdisait de craquer devant son enfant.
-Il est partit mon chéri. Papa est parti.
-Ça fait 5 ans maintenant Maman, tu sais bien.
May' secoua vigoureusement la tête. Logan était parti ce matin même, elle l'avait vu de ses yeux. Elle préféra ne pas donner tort à Dereck pour son anniversaire. Elle se sentait terriblement égoïste mais il serait mille fois mieux sans elle. Il aurait certainement droit à une famille qui pourrait l'aimer réellement et à sa juste valeur. Elle prit doucement la main de son enfant et reposa la photo dans la paume en souriant.
-N'oublies jamais, Dereck, que ton papa et moi, nous t'aimons très fort. Et même avec les anges, maman sera toujours là quand tu aura besoin d'elle. Sa voix se brisa. D'accord mon chéri. Je serais toujours, toujours là pour toi. Quoi qu'il arrive, tu est l'homme de ma vie mon chéri.
Dereck semblait abasourdi. Il ne comprenait pas ce que lui disait sa mère. Il ne comprenait pas non plus pourquoi elle se levait sur ce mur. Pourquoi elle avançait les pieds vers le vide. il était tétanisé. Il se recula légèrement et sa mère lui adressa un sourire maladroit.
-Je t'aime Dereck.
Il avait envie de lui répondre que lui aussi l'aimait, qu'il ferait tout ce qu'il faudrait pour elle. Il aurait voulu s'accrocher à elle et tomber avec elle mais elle était déjà parti. Il lui avait semblé un instant voir un ange avec le tissu qui virvoltant autour d'elle. Il aurait voulu lui dire à quel point elle comptait pour lui, à quelle point il n'était qu'un enfant et qu'il avait énormément besoin d'elle. Mais il était trop tard. Il se précipita vers le rebord, s'accoudant et tendant le cou pour voir le bas. Sa mère gisait, les bras écartelé, une mare de sang s'élargissant doucement. Il se redressa, resta debout pendant des heures, la photo de ses parents à la main. Le soleil avait décliné mais il restait, dans le noir. Les larmes avait souillé ses beaux yeux bleus et ses joues roses.
-Je t'aime aussi Maman.
______________________________________
20 ans plus tard.
Malgré les aléas de son enfance, Dereck était devenu un jeune homme tout à fait respectable. Après la mort de sa mère, les services sociaux l'avait confié à une famille modeste de Brooklyn. Ils avaient une maison forte agréable avec un petit jardin qui lui permettait de respirer lorsqu'il en avait besoin. Il était l'enfant unique de la famille et autant dire qu'il s'y sentait parfaitement à son aise. La mère était femme au foyer quand au père, il travaillait dans une firme international dont Dereck n'avait pas besoin de savoir grand chose. 10 ans plus tard, le père de famille avait cédé à un infarctus et Dereck avait été présent plus que jamais pour sa mère adoptive. Il lui vouait un véritable culte. Elle était tout ce que sa mère avait été incapable d'être. Elle était intentionné, prenait grand soin de lui et avait trouvé du réconfort auprès de lui quand son mari décéda. Elle incarnait la perfection. Enfin..Elle ne trouva jamais plus personne pour partager sa vie et tout deux décidèrent de changer d'environs. La femme à l'âge avancé avait de la famille dans le Massachusetts. Ainsi il se retrouvèrent dans un petit quartier paumé. C'était tout simplement parfait. La seule ombre, la distance que devait parcourir le jeune homme pour continuer ses études et très vite, il se détacha un peu de sa mère d'adoption, tentant de voler enfin de ses propres ailes. Avec son accord, il obtint le droit d'aller s'installer bien plus loin de la famille, dans une ville bien plus importante pour continuer ses études de medecine. Et zioup. Jackson était la ville la plus approprié à sa recherche. Loin , bien loin.
27 Novembre de cette année.
Alors que Monsieur Petterson quittait sa garde, bien décida à changer d'air, il se décida pour une soirée bien arrosé dans un bar. Seul ou non, il trouverait bien quelqu'un pour finir la soirée. Et ses espérances furent comblées bien au delà de ce qu'il aurait pu penser. Avant même qu'il commande sa vodka habituel, une sirène apparut à ses yeux. Elle était là. Ses cheveux blonds flottant dans l'air comme ceux de sa mère. Ses yeux en amande, ses lèvres pulpeuses. Elle était tout simplement magnifique. Il lui fut impossible de résister à l'envie d'aller vers elle, de discuter et finalement, plus avec infinités. C'est ainsi qu'il fit la connaissance de la jeune Eva. Sa cadette mais son idéal aussi.
Liens
[+++]
Famille:
Noémi Peterson (sa soeur)
Amies:
Ryan Flight
(Un de ses meilleurs amis avec qui ils passent quasi tout son temps, ils se complètent bien et ont confiance l'un en l'autre.)
Chelsea Tempton et Bradley Tempton [Survivor] & [Other]
(Il l’a rencontré les deux jeune gens à l'école et ils se sont tout de suite très bien entendus autant avec la soeur que le frère!)
Delphine Leary: collègue de fac.
[♥]
Eva Greenfield
Il n'a jamais eu l'habitude de tomber sous le charme de femme plus jeune que lui!.. C’est le contraire qui se produit.. Mais lorsqu'il a rencontré Eva dans une boîte un soir!.. Il se demandait lui-même ce qui lui arrivait.. Mais il ne pouvait pas passer à côté d'elle! Il est tout de suite allé lui parler! et aujourd'hui ils passent leur temps à se séduire! par plaisir!? où il voudrait plus!?
Signes particuliers:
Aucun a sa connaissance.
Lien avec l'histoire: Il sait beaucoup de chose! Mais il n'en parle jamais! Il aime mieux garder ces histoires pour ceux qui n'ont que ça à faire! Il a déjà vue certain de ses amies assez souffrir comme cela!
Avatar: Milo Ventimiglia
Code:  Not Game Nom: ![Dereck Peterson [Under Construction] 347585](/users/2813/26/04/00/smiles/347585.gif)
Âge: 16 ans
Comment avez-vous connu le forum!?: Sur un top sites .
Votre présence sur le forum /10: ><'... A vue de nez je dirais...7.
Votre niveau de RP /10: Argh, la question que j'aime le moins TT' Pas facile de se noter. Ça dépend des critères en plus --' Mais je dirais 7 également.
Dernière édition par le Dim 20 Jan - 9:54, édité 1 fois |
| | | | Carlyn Hayes
Admin Tyrannique
Nombre de messages : 189
Team : Survivor
Citation : Personne ne peut effacer le passé, on peut seulement tenter d'oublier..
Humeur : Pensive
Return.. But..
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| | Sujet: Re: Dereck Peterson [Under Construction] Ven 18 Jan - 8:34 | |
| On supprimeras les message de Bienvenue!  | |
| | | | Invité
Invité
| | | | | Carlyn Hayes
Admin Tyrannique
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Citation : Personne ne peut effacer le passé, on peut seulement tenter d'oublier..
Humeur : Pensive
Return.. But..
My Life:
| | Sujet: Re: Dereck Peterson [Under Construction] Dim 20 Jan - 11:10 | |
| Voila! franchement excellente présentation! tu est bien évidament validé!  | |
| | | | Nathan Hayes
Nombre de messages : 101
Citation : 20 ans
Return.. But..
My Life:
| | Sujet: Re: Dereck Peterson [Under Construction] Dim 20 Jan - 16:25 | |
| Bienvenue désolé du retard ^^ | |
| | | | Contenu sponsorisé
| | Sujet: Re: Dereck Peterson [Under Construction] | |
| |
| | | | | | Dereck Peterson [Under Construction] | |
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