Arrivée de la 5e victime

Il entra dans l'usine abandonnée avec la petite rouquine sur l'épaule, elle était toujours dans les vaps, ce qui l'arrangeait bien. Une légère odeur de chair brûler se faisait sentir en entrant, certains en aurait été incommoder, mais lui il se sentit heureux. Il avança sur plusieurs mètres avant d'entrer dans une pièce où des gémissements se faisait entendre... et aussi d'autre bruit... la seule lumière existante était un feu rougeoyant qui crépitait. Au dessus de ce feu ... une cage couché se balançait sous le tortillement d'un jeune homme. Il n'avait pas beaucoup d'espace pour bouger et ne pouvait pas échapper à la chaleur grandissante des fins barreaux de sa prison. Le feu ne le consumait pas... il avait été placé à une hauteur qui faisait en sorte que seule la chaleur l'atteignait et le fer des barreaux lui brûlait la peau. Il n'arrivait plus à hurler parce qu'il était à bout de force... il y avait des heures qu'il se débattait pour bouger de là. Maintenant seul de petit gémissements sortaient de sa bouche. Ses trois compagnons d'infortune ne faisait pas très bonne figure non plus... Les uns après les autres ils étaient malade à cause de l'odeur de la chair....

Il ne put s'empêcher de rire en voyant se jolie tableau. Matters était bien cuit maintenant, il pourrait bientôt éteindre le feu. Mais tout d'abord il amena sa nouvelle proie à sa dernière demeure, du moins le souhaitait-il. Il déposa la jeune femme dans une cage similaire à celle dans laquelle Matters était en train de brûler et similaire aux demeures des autres prisonniers. Il l'enferma et comme si le métal froid la réanimait la jeune fille se mit à bouger doucement. Il fit passé une chaîne dans l'anneau qui ornait la cage et tira pour la faire monter doucement. Il l'a hissa jusqu'à hauteur voulu et verrouilla l'autre extrémité de la chaîne à un pieu prévu à cet effet et très solide. La jeune femme avait ouvert les yeux., de son visage couvert il lui fit le plus beau des sourires.

-Bienvenue dans mon antre ma jolie... à partir de maintenant la peur sera ton amie pour le reste de ta courte vie.

Il se dirigea vers Lee-May, elle était semi consciente, épuisé par le manque de sommeil, le manque de nourriture et d'eau ainsi que par les tortures qu'il lui infligeait. De la voir ainsi affaiblit lui donna un frisson de plasir, elle serait surment la première à rendre l'âme. Elle avait une plaie ouverte à la jambes d'où s'écoulait doucement du sang. Il prit un tisonnier, décidant que la jeune femme avait assez perdu de sang. Il mit le fer dans le feu et revient vers la jeune femme, sans crier gare il appuya le métal rougit sur la peau de la jeune femme qui se mit à hurler de douleur. Après plusieurs secondes, il enleva et regarda la plaies.

-Petite ingrate, tu devrais être contente je viens de te sauver la vie! Tu serais morte au bout de son sang sinon!

Ricardo ne dit rien où en fait... il ne put rien dire, il avait les cordes vocales abîmé par les bons soins de notre ami le trouvant trop bavard à son goût. Et la petite Hilary .... elle était toujours inconsciente semblait-il. Il l,avait peut-être frapper un peu trop fort sur la tête... mais bon elle respirait toujours. Il alla vers un puit qui trônait au milieu de la pièce. Il plongea un sceau et en remonta de l'eau. Il avança vers le jeune Jason et jeta l'eau sur le feu. Le feu s,éteignit en une grande montée de vapeur qui fit tousser le jeune homme.

-Mon petit poulet est cuit je crois!

Et il se mit à rire à gorge déployer de sa blague un peu douteuse pour les autres mais tellement rigolote pour lui. Il était heureux ainsi... entouré de ses mômes trop confiant qui appelait maintenant leur maman à leur secours. Il était ravi, tout allait comme sur des roulettes, son plan fonctionnait à merveille et cette fois, il ne laisserait personne le briser avant son terme.

Nombre de messages : 31 Citation : Celui que tu veux...

Quelques heures plus tard…

Josie ouvrit lentement les yeux. Elle venait de faire un mauvais rêve. Très mauvais. Elle avait rêvé qu'elle rentrait d'une soirée entre amis et qu'elle s'était fait enlever pour reprendre conscience dans un endroit qu'elle ne connaissait pas. Autant dire qu'elle était contente que ça ne soit qu'un mauvais rêve, que rien de tout cela ne s'était réellement passé! Ça devait être son retour qui l'inquiètait un peu. Et James, son ami, n'avait rien fait pour tenter de la rassurer.

En bâillant, Josie remarqua qu'une drôle d’odeur lui chatouillait les narines. Au bout de quelques secondes, la jeune femme réalisa qu’il s’agissait d’une odeur de brûlé. Quelque chose était entrain de brûler! Ce n'était pas du bois, pas du papier. Non. C'était une autre odeur qu'elle ne parvenait pas identifier. Elle se souleva précipitamment sur ses coudes, mais sa tête heurta quelque chose et sur le coup, elle se laissa tomber sur le dos.

Étonnée, elle regarda partout autour d’elle, se demandant ce qui se passait. Et là, l’horreur la saisit. Elle était dans une sorte de cage. Affolée, la jeune femme tenta de l’ouvrir, mais il n’y avait rien à faire. Et pour compliquer un peu sa situation, à chaque mouvement qu’elle faisait, la cage tanguait toujours un peu plus.

Josie tenta de regarder partout autour d’elle, mais elle ne voyait presque rien. La pièce était plongée dans la pénombre. Tout ce qu’elle pouvait distinguer, c’était d’autres cages, identiques à la sienne, qui se balançaient légèrement. Elle entendait des gémissements tout autour d’elle, des plaintes, des gens qui tentaient d’appeler à l’aide…

La jeune femme n’eut pas à chercher plus longtemps ce qui se passait. Elle était une autre victime de ce fou encore en liberté. Une proie de plus au tableau de chasse… Il la torturerait tranquillement, comme il prenait plaisir à torturer ses autres victimes.

Et elle allait mourir.

Il s'approcha doucement, la jeune femme bougeait... elle allait bientôt ce réveiller dans son pire cauchemar et il voulait assisté au spectacle. Il observa ses moindres réactions, de la où il était lui pouvait la voir mais elle non. Et ce qu'il vit le réjouissait totalement. La jeune femme avait tenter de se lever comme si elle était dans son lit... mais s'était heurtée à la cage, elle venait de réaliser... et elle semblait paniqué. Lui eut un petit rire sourd, c'était un délice de la voir ainsi, avec la peur au ventre. Il s'approcha encore doucement, il avait un morceau de verre bien tranchant à la main, il avait pensé s'en servir sur monsieur Sanchez... mais pourquoi pas... il approcha encore et il passa rapidement le morceau de verre sur la main de la jeune femme qui était paume ouverte sur la cage. Un liquide rouge et foncé commença à s'écouler doucement. La jeune femme avait crié de surprise plus que de douleur selon l'intonation. Mais lui avait eu un malin plaisir à l'entendre.

Il ricana doucement avant de s'éloigner, il alla vers monsieur Matters... le jeune homme faisait de la fièvre. Sa peau avait former des bulles, de jolie cloque d'eau que lui s'était amusé à crever, il avait ensuite pris du vinaigre et en avait asperger le dos du jeune homme qui avait hurler à réveiller les morts. Il était donc en état de choc et tremblait de tous ses membres. C'était pas marrant... Matters n'était pas aussi résistant qu'il ne l'aurait cru ... il s'approcha de l'oreille du jeune homme.

-Et moi qui croyait que tu serais aussi résistant que ton cousin ... tu n'es qu'une mauviette à côté de lui ... je lui ai tranché les veines et il a réussit à survivre... toi je te brûle un peu et tu es déjà en train de claquer... tututu tu n'es qu'une vermine inintéressante... avoir su j'aurais pris ton petit frère de 6 ans je suis sur qu'il aurait mieux supporter que toi, lavette.

Il était contrarié de voir ça... le jeune homme ne devait pas mourir si vite... il allait tout faire capoter son plan... Il était énervé à cette idée, il prit le tisonnier et alla le planter dans la jambe de Hilary qui avait finit par se réveiller enfin. La jeune femme hurla de douleur en sentant le fer entrer dans sa jambe. Il l'avait retirer tout de suite, mais ça ne l'avait pas fait sentir mieux... il prit donc le tisonnier et alla le faire rougir à la lueur d'un petit feu qui lui servait de lumière. Lorsqu'il fût bien rouge, il alla l'appliquer sur la joue de Sanchex qui émit un borborigme épouvantable aux oreilles des autres, mais si doux aux siennes. Il laissa l'instrument là pendant plusieurs secondes. Les autres s'énervaient dans leur cage pour qu'il arrête. Il se mit à rire, s,était trop drôle de les voir tenter de protéger le jeune homme qui ne parlerait sans doute plus jamais. Ils unissaient leurs voix pour parler pour lui. C'était très divertissant tout ça. Il avait retrouvé un peu sa bonne humeur. Il retira le tisonnier et le laissa tomber au sol. Il était temps pour lui d'aller se reposer.

-À plus tard mes agneaux, soyez sages... et que la peur soit avec vous.

Il se trouva très drôle et rit à gorge déployer, puis il sortit de la pièce laissant là la petite nouvelle avec les autres... qui était là depuis en tout 5 semaines pour le premier kidnapper... et il espérait qu'ils seraient encore tous la dans plusieurs semaines.